De nationalité Japonaise . Né(e) à Tokyo, Japon, le 26/02 . Âgé(e) de 26 ans . De signe astrologique poisson et de groupe sanguin A+ . Exerçant les métiers de médecin-légiste et mannequin . Aux revenus Aisés .
» Groupe : [x] JUSTICE [] YAKUZAS [] GBOYS&GIRLS [] BLACK ANGELS [] HABITANTS

Je suis née dans une famille comme les autres, ce qui ne doit pas vraiment faire changement. On était pas la plus unie des familles et la situation n'a toujours pas changé. Ma mère n'a jamais aimé que mon père ne soit pas souvent à la maison. C'est en autre pour cela qu'elle a voulu avoir un enfant. C'est là que j'arrive dans l'histoire de cette famille. Quand mon père a sus qu'il allait m'avoir, il a promis à ma mère de rester plus souvent à la maison, au moins jusqu'à temps que je sois suffisamment grande pour aller à l'école. J'ai donc grandi avec mes deux parents. Ils m'ont vite montré comment lire et écrire parce qu'ils voulaient que je sois un enfant intelligent. C'est vrai, je vous n'aie pas dit, ma mère est enseignante au primaire et mon père travail en tant que médecin-légiste. C'est donc surtout ma mère qui m'enseignait ce que je devais savoir. C'est à cause de cela que je sautai ma première année du primaire comme je savais déjà un peu lire et écrire et que des personnes ont jugés que j'étais prête pour aller à la deuxième année. C'est pourquoi j'ai toujours été un an plus jeune que mes compagnons de classe, mais cela n'a rien changé.

Mon père commença effectivement à être de moins en moins présent quand j'étais jeune et je passais beaucoup de temps avec ma mère. J'étais une petite curieuse et elle me montrait ce qu'elle enseignait à ses élèves qui étaient plus âgés que moi. Je pense que ma mère était surprise à la vitesse que j'apprenais. J'ai grandi comme cela, mais je n'ai jamais sauté une autre année. Pourquoi?Parce que mes parents avaient peur que cela me nuis trop dans mes études. Je pense que par la suite, il n'eut pas grand-chose de très marquant. Ah, non c'est vrai. Une activité que je fis au primaire, celle-ci consistait à faire un travail sur le travail de nos parents, c'est là que je découvris ma passion pour la médecine. J'avais commencé à écouter des émissions comme CSI et d'autre émission mettant en vedette un médecin-légiste. Oui, je suis une fille très passionnée. J'ai déjà même supplié mon père de m'apporter à son travail une journée que j'avais congé.

Plus je grandissais et plus je savais que je voulais faire cela comme métier. Je mettais soin d'avoir les meilleurs notre possible, donc d'être la meilleure en classe. Une fois que je commençai mes études en médecine, j'eu le droit à beaucoup d'aide de mon père et cela m'aidait énormément. Sinon, à part cela, j'avais commencé à découvrir ma passion pour la mode. Ce n'était pas aussi fort que pour la médecine légiste. Je m'informais donc un peu quand je fessais une petite pause dans mes études. J'en parlais également un peu avec mes amies. Mes études c'étaient donc bien passer et j'étais dans les meilleures de mon école. Ma facilité d'apprendre de nouvelles choses et ma détermination en étaient pour beaucoup. Les stages étaient la chose que j'aimais le plus je dois dire. Cela m'aidait à confirmer ma passion et me motivé encore plus. Par contre, ce qui me faisait peur c'est d'avoir de la difficulté à me trouver un travail après. Mon père me rassurait en me disant que c'était sûr que j'allais avoir un travail.

Il eut effectivement raison, une fois que je suis officiellement diplômé et que j'eu le droit d'exercer le métier, je réussis à avoir un emploi. Par contre, cela fit peur à mon père vu que le poste était dans le quartier d'Ikebukuro. Il connaissait une personne qui travaillait dans ce quartier et il savait ce qui se passait là-bas. Avant de rentrer en fonction, j'ai rencontré cette personne en question et elle me parla de ce qui se passait dans ce quartier et du risque que je courrais. Au lieu de me faire peur, cela me motiva. J'avais eu une idée pour diminuer mes risques, quoi que cela puisse aussi être l'inverse si on découvrait mon secret. J'allais mener une double vie. Pour les personnes de gang, j'allais être un joli mannequin, rien de bien dangereux. Je m'étais donc vite fait un portfolio avec mon amie et j'eu la chance d'être accepté même si j'avais déjà 26 ans. J'allais donc commencer ma nouvelle vie en tant que médecin-légiste et mannequin. Je suis sûr que tout allait bien ce passé. J'étais suffisamment intelligente et rusé pour y parvenir et mentir, n'étaient pas quelque chose d'inconnu pour moi.