Informations Confidentielles
De nationalité Japonaise. Né(e) à Tokyo, le 12/07/1992. Âgé(e) de 20 ans. De signe astrologique singe et de groupe sanguin O. Exerçant le(s) études/métier de professeur de Taekwondo dans un dojo . Aux revenus moyens.
» Groupe : [] JUSTICE [] YAKUZAS [X] GBOYS&GIRLS [] BLACK ANGELS [] HABITANTS
Un peu d'histoire
Chère Takeda Yuna, avant de parler de vous, j’aimerais en savoir plus sur votre famille et vos origines :
Volontiers. Ma famille. Vous prenez le stéréotype d’une famille parfaite et riche. Vous voyez le genre ? Riche, qui garde beaucoup d’importance sur l’apparence, ce que les voisins pensent de vous, l’allure que vous avez, l’allure de votre maison, de vos animaux domestiques, de vos domestiques etc... Bon, vous y êtes mieux la ? Très bien, vu que pour décrire ma famille en général, c’est ça qu’il faut. Le stéréotype même d’une famille riche et parfaite en Corée. Pourtant me direz vous ma famille n’est pas extrêmement riche. Et vous avez raison. Mais pourtant, ma famille, et surtout ma mère, se comportait comme une famille extrêmement riche. Les voisins se moquaient même de ma mère, qui s’achetait de la fausse fourrure pour faire croire à sa richesse. Mon père travaillait à l’époque dans un bureau de police.
Très bien, maintenant, parlez moi un peu de votre naissance, je vous pris :
Je suis née en milieu d’année 1992, dans un hôpital de Tokyo, le 12 juillet pour être exacte. En faite, j’aurais du dire « nous sommes nées », puisque j’ai une sœur jumelle. Enfin j’avais…
Mais naissance fut rapide et sans problème. Par contre, celle de ma sœur fut moins agréable. Elle était touché d’une maladie grave dont je ne me souviens plus du nom. Il était donc évident qu’elle ne vivrait pas longtemps. Les médecins lui donnaient une vingtaine d’année à vivre, peut-être un peu plus si elle suivait un bon traitement.
A ma naissance, je fus donc un peu délaisser, puisque toute l’attention était sur ma sœur, mais je ne lui en voulais pas… parce qu’à l’époque j’étais trop petite pour lui en vouloir.
C’est triste. Comment avez-vous vécus votre enfance malgré la maladie de votre sœur ?
Mal, mais ce n’as pas beaucoup de rapport avec ma sœur. Comme je l’ai dit, mon père était dans la justice. Il était chargé de traquer « les ennemis du peuples » comme mon père les appelait. Une profession respectable, qui lui valait des commentaires admiratifs. J’aurais du être fière de mon père ? Peut-être, mais avouez que si votre père vous délaissait pour son travail, et le peu de temps qu’il passait chez vous, il le passait avec votre sœur, ça ne vous rendrait pas spécialement heureuse. Par prétexte que ma sœur était gravement malade, tous le monde était auprès d’elle. Et moi, je restais sur le banc de touche.
Les seuls fois où mon père m’accordait de l’attention, c’était quand je mentais en disant que je voulais devenir comme lui. Gros mensonge évidement. Je ne voulais absolument pas être quelqu’un d’aussi égoïste que lui. Mais pour capter son attention, je faisais semblant. Croyant que je voulais un jour suivre ses pas dans la justice, il m’avait donné des cours de Taekwondo. C’est la seule chose qu’il faisait avec moi, et j’en prenais un plaisir incroyable. Au début, parce qu’il était avec moi, mais après, c’était juste dans le plaisir de pouvoir un jour lui faire mordre la poussière, en vengeance au peu d’attention qu’il avait pour sa propre fille !
Comme ça, vous détestiez votre père… Cette rage contre lui vous a-t-elle influencé dans votre avenir ?
Oui. Mon père voulait que je devienne quelqu’un de respecter et de juste, qui « agît pour le bien de l’humanité » comme il disait. Mais j’ai choisis le contraire. J’ai préférée devenir une des personnes qu’il chassait. La dernière fois que je vis mon père, c’était l’avant-veille de mes 18 ans. Ne pouvant pas être la pour mon anniversaire il avait laissé un cadeau pour moi et il était partis. C’était la première fois qu’il loupait un de mes anniversaires. Simplement parce que ma sœur était déjà morte. Ma sœur jumelle était morte quelques mois auparavant. Donc plus aucune utilité de se rendre à mon anniversaire… Au moins, il se rattrapait avec un bon cadeau. Un katana flambant neuf avec une magnifique lame et une poignée magnifique. Vous me direz, un flic offrir à sa fille une arme ? Arme blanche ok, mais arme comme même. Le problème était réglé. Un port d’arme en bonne et du forme à mon nom.
Ah oui, je ne vous ai peut-être pas dit, mais en plus du taekwondo, je me suis mis au Kendo, « pour savoir me défendre » c’était l’excuse que j’avais utilisée pour convaincre mon père.
Alors, après mon anniversaire, j’avais décidé ce que je voulais devenir. Je partis de chez moi en pleine nuit, sans jamais y revenir.
On dit que vous êtes à présent le bras-droit d’Uehara Naoto. Est-ce vrai ?
La bras-droit s’il vous plait. Et c’est vrai. Au début, je ne faisais que des petits boulots, tout en cherchant l’avenir que je m’étais promis. Les GBoys. Il fut assez simple de rejoindre leur rang. Etant la première fille à y entrer, je me fis facilement une certainement notoriété. Je fus rapidement rejoins par d’autres jeunes femmes et le gang se rebaptisa GBOYS&GIRLS. Uehara Naoto en était le chef. Il est préférable pour vous de ne pas savoir comment je suis devenu son bras-droit. Simplement, sachez que je ne le suis pas devenu pour rien.
Qu’êtes-vous devenus ? Je parle bien sur, du fait d’être entré dans ce gang a-t-il changeait votre façon de voir les choses ?
Oui. A présent, je suis devenue très méfiante, et je fais confiance à peu de gens. Vous comprendrez aussi rapidement que je suis quelqu’un de très combative. N’imaginez pas pouvoir me déranger sans le regretter. Je suis aussi très susceptible, ce qui fait de moi quelqu’un dont il faut surveiller ses paroles, je m’énerve très facilement. Enfin m’énerver… c’est un grand mot. Disons que mes nerfs sont mis à rudes épreuves et que j’ai besoin de me défouler… généralement sur la personne en face de moi. Ho, et on dit de moi que je suis une grande tacticienne. Je ne pars jamais la tête baissée sans réfléchir avant. Et je suis très possessive.
Parlez moi un peu de vos goûts, ce que vous aimez ou ce que vous détestez :
J’aimerais d’abord préciser que je déteste par-dessus tout qu’on me mente, ou qu’on refuse de me dire quelque chose. N’imaginez pas garder un secret avec moi. Et j’aime qu’on me respecte.
Juste pour dire, je suis très difficile. Autant pour les aliments, que pour les personnes. Si un jour je devais me trouver quelqu’un avec qui faire ma vie, je vous dis tout de suite, ce sera une tache très compliqué.