nom : Yoshida prénom(s) : Tenshi âge : 21 ans origines : Japonaise métier/études : membre des GBoys&Girls famille : orpheline (esclave et jouet de Shin) statut social : Célibataire avatar : Maeda Atsuko

des anecdotes intéressantes à savoir : Avec tout ce qu'elle a subi, Tenshi s'est refermé sur elle même. Elle ne parle pas beaucoup avec les autres. Elle est très méfiante aussi parce qu'elle a peur de souffrir. Elle ne se laisse plus faire comme avant et se défend comme elle peut même si elle doit souffrir. Elle est malgré tout gentille si on est attentionné avec elle, parce qu'elle a toujours un coeur tendre. Elle aime la tranquillité et le calme se sont ses seuls moments de répit. Elle ne supporte pas de voir Shin avec d'autres femmes sans raisons particulières. Elle n'aime pas qu'on martyrise les plus faibles. un résumé de mon histoire :  Voir fiche

Mon bourreau : Shin a toujours été auprès de moi depuis que je suis orpheline. J’aurai aimé que ça soit pour des bonnes raisons et dire que c’était mon seul ami mais la réalité est tout autre. J’étais son petit jouet favori, son esclave bonne à torturer quand il en avait envie. Il était vraiment pire que tous les autres enfants de l’orphelinat, au point que j’étais devenu sa propriété privée et seul lui avait le droit de m’amocher. Je ne sais pas si je dois en rire… Dire que j’avais presque eu de la sympathie pour lui quand tout avait commencé. Il s’était fait tabassé presque à mort à ma place en voulant me sauver d’un grand qui s’apprêtait m’attaquer. Je crois qu’il n’a pas supporté et il a décidé de me le faire payer toute ma vie.

Depuis il m’a fait souffrir de toutes les manières possibles, mais je le supportais bien au départ. Cependant j’ai commencé à grandir, et à devenir une mini femme alors j’ai voulu que ça s’arrête. J’avais commencé à vouloir me rebeller, mais à chaque fois je perdais et je me retrouvais avec encore plus de bleus…  Où que je me cache il finissait toujours par être en travers de mon chemin. Puis j’en ai eu marre, je savais que je ne m’en sortirai pas dans cet endroit. Ce fut la goutte de trop quand un groupe s’était attaqué à moi, je me suis enfuie sans regarder derrière moi. Je devenais trop vieille pour toutes ces conneries.

Je n’avais pas revu Shin depuis ce jour là, pendant même un court instant, je m’étais demandé ce qu’il était devenu et qui m’avait remplacé – ce qui bizarrement m’énervait. Comment s’était possible de penser à quelqu’un que l’on détestait autant, mais je ne pouvais pas m’empêcher de me demander s’il m’avait il oublié. J’eus la réponse très vite en le croisant à nouveau dans la rue. Il avait quitté lui aussi l’orphelinat et a aussitôt commencé à me poursuivre. J’étais encore terrifiée par lui mais lorsqu’il m’a rattrapé et m’a giflé en me traitant de faible, j’ai décidé que les choses allaient changer.

Depuis j’ai appris à me battre et je suis prête à le revoir. Cette fois je ne me laisserai plus faire.

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Un autre jouet de Shin : Je ne sais même pas pourquoi je la déteste. Cette femme se promenait bras dessus bras dessous dans la rue avec Shin. En les suivant j’ai découvert qu’elle l’hébergeait et qu’en plus elle était plus jeune que moi. J’ai bien essayé de l’avertir et de lui dire comment était Shin mais vous pensez qu’elle m’a écouté ? Elle m’a dit dehors comme une malpropre et continue de fréquenter Shin. Après tout je m’en fous de ce qu’elle fait avec lui ou pas. Si elle veut souffrir ça ne regarde qu’elle, mais alors pourquoi est ce que j’ai mal aussi … ?

Petite Yûki : C’était encore en train de vagabonder dans les coins d’Ikebukuro que je vis cette fille qui allait se faire cogner par un vélo. J’avais bien entendu essayé désespérément de l’appeler en criant de toutes mes forces – même si je ne connaissais pas son nom – mais elle ne semblait pas en faire cas. In extremis, j’avais pu lui éviter un accident et l’avait engueulé comme pas possible tellement j’avais eu peur mais elle me regardait en souriant sans rien dire. Elle semblait bien me voir mais apparemment ne m’entendait pas parce qu’en réalité elle était sourde. Comme une bonne idiote, je l’avais laissé là pour aller chercher un carton près d’une benne à ordures avec un morceau de charbon pour écrire, avant de revenir essayer de communiquer avec elle quand elle me montra son calepin et son stylo. Bien sur si elle était sourde, elle devait toujours avoir de quoi communiquer avec elle, j’étais bête… Enfin bref, j’avais appris qu’elle s’appelait Yûki, et j’avais décidé de rester avec elle pour la protéger jusqu’à ce qu’elle rentre chez elle. D’ailleurs en la ramenant, je lui avais fait me promettre de ne pas sortir seule et de me prévenir pour que je vienne la chercher après avoir échangé nos numéros. Elle est mignonne et gentille Yûki, je crois que c’est la première amie que j’ai dans cette ville…

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